Accession : Parmi les 10 hommes de tête, la performance du jour est à mettre à l’actif de Mario Mancini, vainqueur de Catalin Navrostecu. Dans le choc de jeunes talents, Bilel Bellahcene et Jules Moussard n’ont pas réussi à se départager, tandis que Maxime Lagarde, au premier échiquier, s’imposait face à Philippe Brochet profitant d’une meilleure activité des pièces blanches. La nulle entre Gabriel Battaglini et Antoine Favarel laisse Lagarde et Mancini en tête, accompagnés de Pierre Barbot, victorieux de Peio Duboué.
Vétérans : Victoire heureuse de Richard Goldenberg dans une finale de fous de couleurs opposées au cours de laquelle son adversaire gaffe au 62e coup. A la deuxième table, Pierre Dussol et Eric-André Birens partagent le point d’une partie extrêmement animée. Les gains de Roland Weill, Paloan Decroix, Jean-Paul Ricter et Joël Patrat laissent le groupe de leaders à 5 unités.
Open A : Gains relativement aisés pour les vainqueurs des 4 premiers échiquiers. Kévin Coustance, Victor Vasilescu, Jérémy Pietrasanta et Pierre-Emmanuel Poulet. Ils restent tous aux commandes d’un groupe de 8 joueurs, dont le leader au départage est Stéphane Pinçon.
Open B : Faisant preuve d’une bonne technique en finale, Karel Donskoi l’emporte sur Anne Pokee à la table 1. Sur les échiquiers suivants, la logique du classement est respectée, et seule Clémentine Nolot, en battant Louis Benhaim, déjoue les pronostics.
Open C : Michel Salgues, meilleur Elo du tournoi, s’est montré trop approximatif dans l’ouverture, avec quelques coups surprenants. Face à l’anarchie des pièces blanches, Adrien Glotin a déroulé un jeu classique, suffisant pour l’emporter. Le peloton de tête se réduit, comportant désormais 8 joueurs avec 3 points
Open D : Au premier échiquier, Jérémie Thealet contrôle la partie avec les Noirs et finit par profiter d’une gaffe de son adversaire pour l’emporter. Au deuxième, Jean-Clément Ulles l’emporte malgré la perte d’une qualité. Les deux vainqueurs continuent leur chemin victorieux, accompagnés de 9 joueurs. Au départage, le leader est un poussin : Célian Achard-Rozan !